Le président candidat a proposé mercredi lors du « débat » en vue du second tour une augmentation inconditionnelle de 10% pour l'ensemble des professeurs et jusqu'à 20% pour ceux qui utiliseront des « méthodes pédagogiques innovantes ». Son adversaire promet elle une revalorisation de 3% par an sur l'ensemble du prochain quinquennat, soit 15% en tout.
Le matin même, sur France Culture, l'économiste Jean Arthuis disait que l'inflation en France pourrait se maintenir à 5% par an dans les quelques années qui viennent. L'augmentation promise par les deux candidats est donc virtuellement effacée par trois ou quatre années d'inflation. On ne peut donc plus parler de revalorisation mais de simple maintien à flot... En eaux basses!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Risque de renvoi massif de PRAG et de PRCE dans le second degré avec la réforme de la formation des enseignants annoncée par le gouvernement
Si les universités sont conduites à fermer d'autres formations pour assurer à moyens constant la création des « écoles normales du X...
-
Si les universités sont conduites à fermer d'autres formations pour assurer à moyens constant la création des « écoles normales du X...
-
Un mot à retenir, lourd de conséquence pour nos services, dans l'allocution présidentielle d'hier lundi 17 avril. Celui de « systé...
-
La direction générale des enseignements scolaire (DEGESCO) a informé certains syndicats qu'elle accorde du temps de correction pour le...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire